7 Days in Entebbe ne casse pas des briques. Un faible pour l’ancienne Bond Girl Rosamund Pike ou pour Daniel Brühl, l’Allemand de service des films anglophones, vous aidera à faire passer la pilule.
Ils jouent deux membres du mouvement terroriste Revolutionäre Zellen qui, à la fin du mois de juin 1976, ont aidé le Front populaire de Libération de la Palestine à détourner un avion Air France en partance de Tel-Aviv. Le dictateur Idi Amin a autorisé les pirates de l’air à détenir les 248 otages dans un immeuble abandonné à d’Entebbe, le plus grand aéroport d’Ouganda. Côté israélien, le Premier ministre Yitzhak Rabin et le ministre de la défense Shimon Peres ne s’accordent pas sur la manière de procéder : le premier veut négocier, le second, se tenir au principe de ne jamais dialoguer avec des terroristes.
Finalement, l’armée israélienne libère les otages au cours d’un raid spectaculaire sur Entebbe. L’affaire a contribué à faire de l’état d’Israël ce qu’il est aujourd’hui. Une matière suffisamment intéressante donc, mais le réalisateur brésilien José Padilha (Troupe d’élite, Narcos) ne parvient pas à cerner son propos et surcharge son film de fragments d’un spectacle de danse de la compagnie israélienne Batsheva.
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