Scène: Janet on the roof

Comme un seul mouvement continu où son corps se déploie, s’enroule, se déroule, se déplie et marche à quatre pattes sur les notes délicates du piano de Henry Cowell.

Dans Janet on the roof, solo hanté par l’idée de la disparition imaginé par le chorégraphe français Pierre Pontvianne, Marthe Krummenacher donne à voir des modulations dont nous ne percevons pas toujours les changements. Glissant d’une posture à l’autre, avec des revirements d’énergie intenses, elle se coule dans le mouvement de la vie, faite de changements, autant que d’une évolution imperceptible des choses. À voir au festival des Brigittines.

> Festival international des Brigittines: Janet on the roof. 25/08 & 26/08, 19.00, Les Brigittines (salle Mezzo), Bruxelles