La danse, art de l’éphémère, a une histoire et elle laisse des traces, qu’explore le festival LEGS. Les gestes, les mouvements ne viennent pas de nulle part, ils naissent d’un contexte, parfois d’autres trajectoires.
![1655 PUNK NoraChipaumire](https://wmimages.bruzz.be/styles/1f8c29ed4efcaed916a7e270e4064aaa5d961eac/bulk_image_upload/1553590432/images%20out%201/1655%20PUNK_NoraChipaumire_%28c%29_Ian%20Douglas.jpg?style=W3sianBlZyI6eyJxdWFsaXR5Ijo3MH19LHsicmVzaXplIjp7ImZpdCI6Imluc2lkZSIsIndpZHRoIjoxMjk2LCJoZWlnaHQiOjg2NCwid2l0aG91dEVubGFyZ2VtZW50Ijp0cnVlfX1d&sign=cd4d9c2afe0f044667be71a75f5de480922c3ad3d1806fe5fffc05d38622324b)
© Ian Douglas
Les temps de la danse au festival legs
Dans ce dialogue entre passé et présent, on a Robyn Orlin une chorégraphe sud-africaine qui s’intéresse à Louis XIV, Nora Chipaumire, du Zimbabwe, qui jette le corps noir dans l’énergie du punk. Loïc Touzé revient aux Variations Goldberg, Bryan Campbell à la Square Dance et Madeleine Fournier à la bourrée.
Sans oublier les fantômes de figures mythiques du passé tels Vaslav Nijinsky ou Anna Pavlova qui hanteront les plateaux.
Festival Legs 27/3 > 6/4, La Raffinerie
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